«J’ai ouvert la porte du monde enchanté de ma vie. Surtout de mon enfance dans le village de Camp Diable. Car si on croit vivre dans un monde connecté aujourd’hui, il faut aussi se rendre à l’évidence : on ne vit plus comme on le faisait auparavant. Car, on a perdu le sens de la fraternité, de la convivialité… C’est pourquoi l’écriture de ce livre était importante pour moi. Parce que lire, c’est partir à la rencontre de celui qu’on est», écrit Joyce Veerasamy qui vient de sortir son autobiographie le 22 septembre dernier.

«Je l’ai écrit avec mon cœur. C’est mon enfance et tout ce qui m’entoure. J’évoque aussi la mort et là où j’irai dormir un jour… Le jour où je mourrai, je ne veux pas qu’il y ait des cris et des larmes. Car, j’ai toujours été gai et je ne veux pas qu’on me pleure. J’aime la vie et j’aime ce que je fais», confie celui qui a pris deux ans pour finir le livre. Il a pu compter sur le soutien de sa famille, de Danny Drack, Khalid Atchia et Laëtitia Rousselin, qui a dessiné son portrait pour la couverture du livre. «Après cette autobiographie, je ne compte pas m’arrêter. Je sortirai bientôt un deuxième livre. Le titre sera C’est mon histoire…» Disponible en librairie.